Quel conte plus intemporel, féérique, effrayant, surréaliste, intemporel, troublant, symbolique et essentiel, que la Belle & la Bête ?
Un bijou de la littérature gothique française, issu de la plume de Madame de Beaumont au 18ème siècle, repris et mis en scène à maintes reprises, incarné merveilleusement par le poète et cinéaste Jean Cocteau, qui a marqué pour toujours les esprits, petits et grands, avec le beau et terrifiant mufle de la Bête, à jamais inscrit dans nos mémoires incarné par l’immortel Jean Marais …
En hommage au soixantième anniversaire de la mort de Jean Cocteau, au mois de décembre à Paris :
Une exposition d’Arts Visuels collective et multimédias à la Piscine Joséphine Baker, dans le XIIIème
Peinture, Photographie, Dessin, image Digitale, Sculpture, Vidéo, Projection en Mapping interactif, Artefacts, etc ….
” Relatant, mettant en scène, nous questionnant, sur l’ambivalence entre la Bestialité et l’Humanité, l’Amour et la Prédation, le pouvoir alchimique de l’Amour féminin sur la Brute à l’état sauvage, et toutes les métaphores et métamorphoses possibles du Merveilleux fantastique et de son univers baroque et enchanté ?
Où se situe la limite fragile entre la Belle et la Bête, l’humain, sous la monstruosité apparente ?
Tout ce qui se révèle à travers l’étoffe chatoyante de la Littérature, les Contes de Fée et les Mythes, contrées privilégiées, où le légendaire, l’irrationnel, l’extraordinaire, la magie, l’occulte, le surnaturel, et tant d’autres chimères, fictions troubles et de multivers possibles et imaginables (voire, inimaginables), peuvent y déployer leur ailes, nous entraîner vers les mille ailleurs féériques du pays de l’Enfance et des songes ? ….
Ou planter leur griffes terrifiantes, dans les méandres insondables de la psychée humaine, explorant les mystères de l’au-delà et de l’en-dedans ? ”
Il était une fois …
